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Collectif nivernais contre l’expulsion d’enfants et d’adolescents scolarisés - Page 9

  • 10ème cercle de silence


    Encore un nouveau cercle de silence !

    La situation des enfnats de sans-papiers dans la Nièvre empire ces derniers temps (baisse des crédits, dossiers laissés en attente, froid...). Il faut encore se mobiliser pour eux.

    samedi 17 octobre de 15h00 à 15h30
    place Guy Coquille à Nevers

     

    Affiche à diffuser

  • 9ème cercle de silence

    Merci de noter la date du prochain cercle de silence du "collectif nivernais contre l'expulsion d'enfants et d'adolescents scolarisés" et de diffuser autour de vous l'information (affiche à diffuser).

    samedi 19 septembre de 15h00 à 15h30
    place Guy Coquille à Nevers

  • non au renvoi en Pologne

    Un couple de jeunes tchétchènes, M. et Mme Thokhtarov (23 et 20 ans), est arrivé à Nevers le 17 mai 2009 juste après avoir fui la Tchétchènie avec leur fils Zhamat (18 mois). Leur espoir : faire une demande d'asile en France, où des cousins ont le statut de réfugiés, après avoir fui un pays qui ne leur offrait plus que menaces de mort, rackets ou enlèvements.
    Aujourd'hui, la France, par l'intermédiaire du préfet de la Nièvre, veut renvoyer la famille en Pologne, selon le règlement de la Communauté Européenne, dit Dublin 2, parce qu'il s'agit du premier pays où elle aurait demandé l'asile. En Pologne, le père de famille a effectivement signé un formulaire, pour pouvoir passer la frontière, mais sans comprendre de quoi il s'agissait. Et de plus , comme le témoignent de nombreux rapports, et cela a été reconnu par des tribunaux administratifs : « l’instruction de la demande d’asile en Pologne ne présenterait pas toutes les garanties souhaitables ».
    C'est bien en France que cette famille a la légitimité de demander l'asile. Ils ne doivent pas repartir en Pologne. La mère de famille est de plus enceinte avec des problèmes de santé qui nécessitent un suivi régulier.
    Ils sont déjà en centre de rétention administrative et risque d'être expulsés d'une heure à l'autre.

    On peut envoyer un fax 03 86 36 12 54 à la préfecture demandant la suspension ou l'annulation de la mesure sur les critères humanitaires, d'autant plus qu'une demande de suspension et d'annulation devant le tribunal administratif de Dijon est en cours.